Souper chez Le Centenaire (Paris, jeudi 22 juin 2017)

Alors, ben, après le magnifique dîner chez Saisons, nous sommes repartis vers le Louvre, pour passer par la boutique Apple, car j’avais suggéré à Quynh de se procurer tout de suite un nouveau cellulaire, afin de pouvoir à tout le moins reprendre contact avec son monde…

Mais, en route, elle s’inquiète; nous devrions donner priorité aux formalités de passeport. Ok, on prend le métro vers l’ambassade, où nous arrivons autour de 15h moins pas beaucoup.   Là, j’en ai perdu un bout: je m’endormais tellement que j’ai effectivement fait un morceau de sieste dans ces sièges archi inconfortables…

Quand je finis par me réveiller, une dame nous dit que vu notre arrivée tardive, il reste juste 20 minutes avant la fermeture de l’ambassade…  Zut! Je me demande combien de temps j’ai dormi!

Enfin, bon, nous nous en sortons. Je re-suggère ensuite à Quynh de se procurer tout de suite un nouveau cellulaire, afin, à tout le moins,  de reprendre contact avec son monde.

Passage à la FNAC, achat d’un machin, passage par l’Apple store du Louvre pour le configurer (et faire bloquer le précédent…)

Mais, Quynh ne se souvient pas du numéro de série du précédent… Au moins, elle apprend comment configurer le nouveau,mpendant que je sors marcher avec Mathieu… Première tentative de sortie difficile, alors que nous nous retrouvons dans un immense stationnement souterrain…

Puis petite marche autour de l’arc de triomphe du Carrousel, puis retour sous terre, puis sortie et petite marche (relativement petite) vers l’hôtel et le souper.

L’hôtel, oui, car ma cousine, qui marie sa belle-fille, a une maison qui déborde. J’aurais bien pu retourner, mais je crois qu’ils en ont plein les bras, chez elle, et après tout, il n’y a qu’à l’hôtel NH que j’ai fait deux nuits à la même place… Et il y a de la place à l’hôtel de Quynh.

Souper très agréable chez Le Centenaire, tout près de l’hôtel. Dernier souper en Europe de ce voyage. Petite réflexion sur la chance de Quynh… Ça peut sembler étrange, mais il me semble qu’elle est très chanceuse, puisqu’elle a reçu un genre de cadeau du Camino, sans pour autant avoir fait ledit Camino…

Son cadeau, redoutable: se trouver dans une situation où elle n’a pas le choix de lâcher prise… Honnêtement, ça ne passe pas facilement… Mais au fur et à mesure que la journée passe, ça semble de moins en moins difficile, ou de plus en plus facile… Bon, pas gagné d’avance, mais il y a de l’évolution.

Le serveur, Dominique, de la rue St-Dominique, est rigolo et charmant. L’air est enfin frais, après une journée de canicule.

Ce souper, comme les 35 jours précédents, se trouve être, finalement, une célébration de la vie.

Je la souhaite belle (la vie, oui) à tout le monde qui me lit.

Je crois que je vous proposerai un souper en ville, quelque part en juillet, si ça vous chante.

Au plaisir, disons probablement à demain, car je pense bien réécrire au moins au sujet de mes avions à venir.

English digest: life is incredible!

  • p.s. Dans mes remerciements, j’ai oublié Christina, Fernand, Michel…

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