Revenir en ville, ce n’est pas si difficile, je me reconnais; revenir chez moi, pareil; revoir ma mère, ma sœur, les amis, mon propriétaire, tout va.
Reprendre le violoncelle, ça va; improviser des accompagnements, j’en arrache un peu, mais pas de gros soucis; la lecture fonctionne correctement, la mémoire aussi.
Ce qui est vraiment étrange, après cinq semaines sans conduire, honnêtement, ce sont les stationnements parallèles… Ouargh, que je me stationne mal!