Bon. Donc, bref, entre l’atterrissage et la fin de l’enregistrement pour le vol suivant, il nous a fallu tout près de trois heures, à Shanghai Pudong. C’est long.
Nous avons collationné dans un petit restaurant du terminal 1. Non, la nourriture chinoise ne goûte pas totalement la même chose qu’à Montréal: c’était un peu plus âpre et épicé. Bon, oui.
Second vol, de nuit, vers Saigon. Très beau moment où la lune brillait au-dessus d’une mer de nuages… J’ai tenté une photo, mais ce n’est pas sorti. Autre moments de fatigue comateuse, avec sommeil instantané, puis après quand même un autre quatre heures de vol, ben, première révélation agréable, oui, j’aime encore prendre l’avion.
Descente vers Saigon. Il y a des champs couverts de lanternes; c’est très beau. Quynh ne sait pas à quelle fête ça peut se rattacher.
Puis on voit Saigon.
Nous nous posons autour de deux heures du matin, et il y a encore trois ou quatre autres avions en file pour atterrir après nous! L’aéroport est pas mal en pleine ville (dans un quartier périphérique, d’accord, mais quand même).
Bouffée de chaleur à la jonction entre l’avion et la passerelle. Nous sommes sous les tropiques. Il fait 27 degrés.
Les formalités d’immigration sont passablement plus rapides et moins pénibles qu’à Shanghai. L’agent ne me regarde même pas.
Ma mère prenant une première photo de Quynh au Vietnam.
Ça, c’est la zone des taxis de l’aéroport de Saigon, vers trois heures du matin, un samedi de février. Il fait chaud. Il y a des tas de gens qui proposent des taxis à prix d’or aux touristes. Nous finissons par dénicher la file des taxis « officiels ». Même là, personne ne veut nous prendre au tarif « officiel ». Bon.
La sortie de l’aéroport est une expérience renversante. À Saigon, il y a beaucoup de trafic, même à trois heures et quelques, mais très peu de feux de circulation. Sur les grands axes, ça joue du coude!
Arrivée à l’hôtel en pleine nuit. À la sortie du taxi, ben oui, il fait encore chaud. Va falloir s’y faire.