Après le café et la vague de tristesse de tantôt, Nathalie et Andrea se sont assurées, chacune à sa façon et à son moment, que j’étais correct, puis nous sommes repartis.
Quelques pas avec Andrea, qui me parle de ses enfants partis du nid, puis de Schubert et de Satie (qu’elle joue au piano)…
Puis, marche solitaire… Pensées supplémentaires sur la pièce, sur la vie, sur Logical Song…
J’ai peur de ce que je trouve… Je l’accepte, pour le moment; je prends un caillou sur le chemin…
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